LES DOSSIERS DE L’HISTOIRE
EDMOND SERGENT, UN PASTORIEN À SURCOUF
Préambule
MERCI … ELLE M’A DIT MERCI
Qui est ce facteur qui me ramène à chaque fois des nouvelles toutes
fraîches de mon Algérie ?. Un beau pays que je n’ai plus revu
depuis mon départ en 1962. J’avais à peine 11 ans.
Aujourd’hui, c’est dimanche. Il est 15h00 du soir. Il fait beau, très
beau même. Ce jour là, je suis dans la véranda en compagnie de plusieurs de mes
amies, T……., J…….. et F……… . Toutes comme moi, les trois
premières appartenaient à l’Algérie française et habitaient la
banlieue d’Alger. La dernière, native de Bordeaux est une amie de
longue date. E…….., mon mari est dans le salon, les yeux rivés comme
toujours sur son micro. Ce soir là, il m’interpelle. Il ne cesse de m’appeler,
C…….., vite ! vite ! Viens voir, c’est ton école qu’on voit sur
l’écran. J’accours, on accourt. Je m’approche de lui, toute tremblante. Je ne
parle pas. Je regarde l’air hébété. Je n’arrive plus à trouver les mots.
Près de 53 ans ressurgissent d’un coup…. Je reconnais d’emblée le perron
de l’école, la porte d’entrée que je franchissais matin et soir. Le chemin que
j’empruntais pour me rendre à l’école…. Ça me fait mal, mais ça me réjouit.
J’aime… . L’Algérie à fait de moi une femme.
Mon Dieu, moi qui appartenais à une terre chaude, à qui mes aïeux m’ont
appris toute petite à rendre coup sur coup, à sourire à chaque fois qu’on
m’offrait un bonbon, n’arrive plus à dire merci ni à trouver les mots qu’il
faut.
J’ai tout perdu, j’ai tout oublié, y compris les notions de bienséance,
depuis que j’ai quitté l’Algérie, où j’ai appris encore enfant à réciter
la bénédicité avant de passer à table et à prononcer la formule rituelle au
moment de me mettre au lit. J’ai tout oublié…..
Cette nuit là, je n’ai pas dormi. Merci !
EDMOND SERGENT, UN ENFANT DE
LA VILLE DE SURCOUF - AÏN-TAYA-
Grande figure de la médecine
coloniale des maladies exotiques (hygiène de santé publique, prophylaxie et
sanitaire et même animale et végétale…).
-
Directeur de l’Institut Pasteur
d’Algérie de 1910, date de sa nomination à 62, date de son départ d’Algérie.
-
Membre influent, jusqu’à la fin de ses jours, à
l’Académie des Sciences d’Outre-mer….
Une vie toute entière
consacrée au service de la médecine et de la recherche médicale.
-
Microbiologiste, vétérinaire, naturaliste… Sergent
s’intéressa de très près aux maladies endémiques qui menacent l’homme dans son
existence, telles que la malaria, la peste, le typhus, la syphilis, le
trachome, la teigne… il mena également une lutte sans merci contre les maladies
contagieuses qui s’attaquent aux bétails, aux plantes et à la botanique… Des
maladies peu répandues en Europe et qui vont ouvrir peu à peu la voie à
de nouvelles découvertes universelles. Sergent en sera le précurseur.
a.
EDMOND SERGENT, UN LONG PARCOURS AU SERVICE DE
LA MÉDECINE
Ses différentes missions de
travail le menèrent dans les contrées les plus lointaines du sahara algérien et
de l’Afrique noire où il eut à effectuer de nombreux travaux de
recherches et d’expérimentations sur les maladies, dites à l’époque, indigènes.
Et c’est ici, qu’il rencontra pour la première fois, en 1907, le Père de
Foucauld, un missionnaire français, établi depuis peu au sahara, qui l’aida
beaucoup dans ses recherches et essais médicaux. Il lui fournira de précieux
renseignements sur la vie des caravaniers au sahara et les liens étroits qui
les unissaient aux camélidés. Le premier, médecin et fils de St
Cyrien et le second, St Cyrien lui-même, le climat n’est que
cordial.
Le Père de Foucauld,
un allié de taille qui lui sera d’un bon apport dans sa mission de travail tant
par la personne légendaire qu’il fut que par la langue aidant, qui les
rapproche.
b.
LE RISQUE DE L’AVENTURE
On imagine les dures
conditions de travail, le risque de l’aventure et les aléas de la route,
auxquels se trouve confrontée quotidiennement l’équipe médicale, tout au long
de son parcours, dans un pays que l’on ne connaît pas et que l’on redoute, de
surcroît, pour plusieurs raisons :
-
Chemins inexistants et sentiers impraticables.
-
Terres
marécageuses, impénétrables parsemées de joncs, de roseaux et infestées
d’insectes.
-
Présence de cadavres d’animaux morts abandonnés
en pleine nature.
-
Raréfaction de l’eau potable et eaux de puits
infectées de germes.
-
Odeur pestilentielle des eaux putrides.
-
Risque de transmission de germes infectieux que
l’on peut contracter à tout moment au contact des personnes malades.
-
Absence d’éclairage, l’expédition militaire dut
se munir vers la fin du XIXe siècle de lanternes pour pouvoir
s’orienter dans l’obscurité.
Enfin,
l’on mesure le long calvaire que l’on ressent à dos de cheval, assis sur une
selle, tout au long d’un long parcours, aussi long que celui qui relie Alger
à Médéa, à Tiaret, à Saïda, à Mascara, à Djelfa…
Que dire alors d’un trajet
long et aussi distant que celui qui vous mène à Tamanrasset ou à Béchar.
On évoquera également le manque
de moyens de locomotion adéquat pour ce genre de travail. L’équipe médicale dut
se faire accompagner en cette moitié du XIX° siècle d’une expédition militaire
et emprunter un attelage de chevaux qu’il va falloir ménager à chaque fois.
Deux évènements grandioses
vont marquer vers le milieu du XIXe siècle l’histoire de la
colonisation en Afrique.
Ce fut d’abord,
l’inauguration de la ligne de chemin de fer en 1857 qui relie Alger – Blida
et auquelle assistait en qualité de journaliste l’écrivain Théophile Gautier.
Le second est sans doute le percement du canal de Suez en Egypte par Ferdinand
de Lesseps à quelques années d’intervalle.
c.
LA MORT DES FRÈRES SERGENT… UNE GROSSE PERTE
Sergent* eut le malheur de porter le
deuil quatre fois dans sa vie. La mort de son frère Etienne, véritable
compagnon d’études et confident irremplaçable, l’a profondément affecté. Elle
l’a privé d’un collaborateur remarquable, et mis fin à une œuvre commune de
plusieurs années de travail au service de la médecine de l’entre-deux-siècles. Etienne
est parti sans avoir eu le temps de savourer les délices de la libération ni
celui de voir aboutir à maturité le fruit de ses recherches.
La seconde fois, ce fut au
moment de quitter Surcouf, en 62. On ressent la peine immense qu’il eut
à se séparer de ses livres, un véritable trésor de guerre et de son patrimoine
exotique, purs produits de longues et dures années de labeur.
La troisième fois, c’était l’instant, où il dut prendre
congé de l’Institut Pasteur d’Algérie, quelques mois après
avoir quitté Surcouf. Une ville qu’il appréciait tant et une Algérie
qu’il privilégiait par-dessus tout.
On ne connaît pas grand-chose
sur sa vie privée, mais une chose est certaine, aux yeux de tous, Sergent
n’aurait jamais pu mener à bien son travail sans qu’il n’eut à ses côtés une
femme dévouée et compréhensive qui saura le comprendre et l’aider dans les
moments difficiles de la vie.
Enfin, la dernière fois,
c’était pour rejoindre « le sommeil des justes ». Sergent est
parti, mais cette fois, pour y retrouver ses amis de l’au-delà, les Pastoriens,
qui n’attendaient que lui pour y récolter le fruit de leurs semences.
d.
LA MAISON DE CAMPAGNE D’EDMOND SERGENT -
SURCOUF - AÏN-TAYA
-
À cet bel appartement de la
rue Michelet, s’ajoutent deux autres grandes propriétés, distantes l’une
de l’autre, situées à Surcouf. La première, belle et spacieuse offrait
un cadre de vie agréable, pour un homme de sciences tel que lui. C’est dans
cette merveilleuse résidence de maître que Sergent et sa famille
séjournaient pendant les vacances et quelquefois les week-ends. C’est ici,
qu’il accordait audience à ses pairs, à ses disciples et à ceux qui venaient
lui rendre visite régulièrement pour s’abreuver de ses conseils. Sergent
disposait à l’intérieur de cette vieille demeure, d’une riche bibliothèque
médicale et d’une vaste collection naturaliste où il consacra une grande partie
de son « temps libre » à l’étude des insectes, des plantes, des
palmacées, de la botanique, du bétail et de la zoologie.
Sergent fit don d’une petite
parcelle de terre, située à l’arrière de cette maison de charme, à son ex jardinier
et gardien nommé ……………………… décédé, il y a plus de 40 ans.
Aujourd’hui, y demeurent les enfants et petits-enfants de ce dernier. On se
trouve à une quarantaine de pas derrière l’ex atelier des forges de
maréchal-ferrant de Charlot Meidier (excusez l’orthographe).
Le narrateur déplore la
mauvaise qualité des photos dont la défectuosité est liée à l’infiltration
d’une bulle d’air embuée dans le foyer principal du portable.
e.
LE JARDIN LABO D’EDMOND SERGENT - SURCOUF
- AÏN-TAYA -
De l’autre côté de la
chaussée, face à cette magnifique maison de campagne on y distingue au loin une
autre demeure de Sergent cachée dans les bois. Elle jouxte à sa gauche
l’ex propriété des Ricci et des Dupepet et avoisine à sa droite
le Chalet normand et l’ex maison des Bénéjeam. Elle ira rejoindre
vers l’extrême droite une vieille demeure, celle des Artand.
Cette belle propriété de
maître dispose d’une grande étendue de terre qui va beaucoup plus dans le sens
de la largeur et qui trouve sa fin à la limite des falaises de mer de Surcouf.
A la lisière de ce
« petit bois », une belle variété de plantes, arbres, feuilles,
palmiers… que Sergent ramena lors de ses différents séjours en Afrique
noire. Un petit paradis exotique dont l’espèce rare demeure introuvable
de nos jours même en terre d’origine. C’est ici, que Sergent fructifia
le produit de ses travaux et recherches. Et c’est ici, qu’il cultiva sa passion
de grand maître collectionneur.
Non loin de là, un beau
pavillon de charme ex bureau de travail et d’études de Sergent.
On y retrouva en 62, à l’intérieur de cette vieille demeure une petite
collection naturaliste et de vieux registres soigneusement entreposés, au bas
de la demeure dont le volume de chacun d’eux est aussi épais que ceux qui
appartenaient à l’Etat-civil et dans lesquels Sergent porta les
différentes étapes d’une bonne classification botanique :
-
Type de familles (classe, ordre, sous-ordre…)
-
Cycle de reproduction de chaque espèce
végétale.
-
Fragments de bois, d’écorces, de lièges collés
sur les feuilles.
-
Pays ou région de provenance de chaque plante
et date de sa plantation.
-
Gravures ou dessins faits à la main.
-
Chaque description portée sur le registre
correspond à une allée, rangée, lignée… répertoriées d’un numéro facile à les
retrouver.
Aujourd’hui, y demeure dans
ce bel endroit, ombragé de hauts arbres et de beaux palmiers, la veuve Djillali
dont le mari Ghaleb décéda, il ya plus de 2 ans, des suites
d’une longue maladie. Ce dernier ex professeur en médecine à l’hôpital de Aïn-Taya
est le fils de l’ex éminent mufti d’Alger, Abderrahmane Djillali.
f.
LE MODÈLE SERGENT - SURCOUF - AÏN-TAYA -
Edmond Sergent qui passa
plus de 52 ans de sa vie à scruter, chaque matin, du haut de l’Institut Pasteur
d’Algérie, le jardin d’Essais du Hamma, l’ex école
d’Horticulture, la mer des Sablettes, et à sa gauche « les
chutes » du Hamma, fut impressionné par le charme
pittoresque de l’endroit. C’est ce même cadre que Sergent a voulu
transposer et recréer à Surcouf, face à sa belle résidence, et lui
donner un sens, à chaque fois, qu’il se rend dans cette belle ville. Il y
redonnera vie à un merveilleux jardin tropical qui ira dominer de loin la mer
de Surcouf avec à sa gauche, la source de Aïn-el-Beylick à qui il
sera attribué beaucoup plus tard le nom de Aïn-Taya.
LE GRAND DÉPART DE SERGENT - SURCOUF - AÏN-TAYA
Sergent quitta Surcouf en 62,
quelques mois avant l’indépendance du pays. Contrairement à ce qui a été dit, Sergent
ne brûla pas ses livres. Certains de ses ouvrages, brochures, prospectus,
documentations pharmaceutiques… auxquels il n’y attachait que peu d’importance
furent livrés à la proie des flammes. Ceux qui présentaient le plus d’intérêt à
ses yeux furent emballés dans des cartons et acheminés vers son appartement de
la rue Michelet pour y être transférés ensuite en France. Sergent
confia, peu après son départ de Surcouf, en 62 les clés de sa belle
résidence ainsi que l’ensemble de ses meubles et de sa bibliothèque – peu de
livres y restaient – à Mme Gand (excusez l’orthographe).
Une voisine qui résidait dans la villa qui fait face à l’ex Pâtissier-Traiteur Le
Poirier*. Mme Gand quitta Surcouf, au
début des années 70, sitôt son mari décédé et après avoir remis les clés de la
résidence principale de Sergent à un ex colonel de l’A.L.N nommé ……………….
La vie n’ayant aucun sens à ses yeux, disait-on, son mari n’est plus de ce monde,
elle emménagea de Surcouf, fuyant sans doute la solitude, pour s’y
installer dans son appartement de la rue Michelet ex domicile
particulier de Sergent.
g. LE
LIVRE DE MON AMI
On ne sait pas ce qu’il est
advenu de l’ensemble des livres confiés par Sergent à Mme Gand
et jalousement conservés par cette dernière, jusqu’à son déménagement de Surcouf
vers Alger. On saura toutefois que certains de ces ouvrages furent
récupérés par Chérifi Med âgé aujourd’hui de près de 77 ans.
(Cela en valait la peine tout de même). C’est lui, dit-on, ce jeune homme, âgé
à l’époque, de 22 ans en 62 qui aida Sergent à mettre de l’ordre dans sa
bibliothèque et à emballer et empaqueter ses livres, peu avant son départ de Surcouf
pour la rue Michelet. Et c’est toujours lui qui veilla durant près de 5
jours au gardiennage de ses livres entreposés dans son appartement de la rue Michelet,
bien avant leurs mises en containers et leur expédition à destination de la France.
Le narrateur vient
d’apprendre avec tristesse le décès brutal de Chérifi Med survenu le
samedi 17 février 2018, peu après son admission à l’hôpital de Aïn-Taya.
L’inhumation de la dépouille mortelle du défunt aura lieu le jour même au
cimetière des Heuraouas.
Ci-dessous, les 3 premières
feuilles d’un livre ayant appartenu à Sergent, longtemps conservé par Mme
Gand et finalement récupéré par Chérifi Med qui le
remis au narrateur. On voit portée sur la page du milieu, émaillée par la
signature de la nièce de Chérifi, une dédicace écrite de la main de
l’auteur du livre, qui dit :
« A mon cher beau-frère
Augustin et à ma chère belle-mère Mathilde. En témoignage de ma profonde
affection ». Mathis
h. L’EX
DOMAINE SERGENT - SURCOUF -
AÏN-TAYA -
Nous sommes à l’orée de ce
jardin labo. – une riche végétation luxuriante – actuelle propriété Djillali.
On y aperçoit au loin une vieille et charmante demeure. Elle dispose d’une
magnifique vue sur la mer. Tout comme la première, elle fut également l’ex
propriété de Sergent. Légèrement plus loin, une annexe qui paraît
quelque peu isolée de ses dépendances. C’est ici, à l’intérieur de cette
attenance, me disait mon interlocuteur, que Sergent y entreposa son
matériel de pêche et de plongée sous-marine (barques, équipements de plongée,
canne à pêche…)
Une large étendue de terre
nous sépare de ce jardin labo. Ce bel et grand espace de terre suscita bien des
convoitises et fera l’objet, comme tant d’autres grandes propriétés à
Aïn-Taya, à Surcouf, à Suffren d’un démembrement par les services* de la ………… . Il subira le même sort que l’ex …………… de …………… qui sera amputée de sa ouche*.
Aïn-Taya, à Surcouf, à Suffren d’un démembrement par les services* de la ………… . Il subira le même sort que l’ex …………… de …………… qui sera amputée de sa ouche*.
Au-delà de ce pavillon et jardin
labo, actuelle propriété de l’honorable famille Djillali, cette longue
et large surface de terre fut octroyée toujours par …………… à 3
acquéreurs* ». Le premier cèdera peu après sa part au second qui en fera
de même au profit du troisième lequel en fit bâtir* à son tour, accolé à cette
vieille demeure, un hôtel, à fleur d’eau, qui ira même empiéter sur les rives
de mer de Surcouf et qu’il baptisera la Turquoise. C’est ici,
dans cet hôtel que Mme Elisabeth de la Tribonnière,
accompagnée de sa suite, y passèrent la nuit du samedi 23 septembre 2017.
i.
SUR LES TRACES DE MES AÏEUX
Lors de mon travail d’investigations,
deux amis, Hocine le marchand de légumes dont l’étal se trouve à la
droite de l’ex propriété Sergent, actuelle résidence de la veuve
………………….. et Chérifi Med, jardinier et gardien du pavillon
(jardin et labo.) de Sergent, actuelle demeure de la veuve Ghaleb
m’informèrent de la visite surprise de Mme Elisabeth de la
Tribonnière, petite-fille de Sergent, accompagnée de son fils -
probablement Xavier de la Tribonnière - et de son petit-fils, à Surcouf et de leur rencontre avec les veuves ……………..........
et Djillali, un vendredi 22 septembre 2017, soit 5 jours avant ma visite
en ces lieux.
Ce récit est conçu avec
l’étroite collaboration des gens de Surcouf et de Aïn-Taya.
Sergent : Quand verra-t-on une rue au Hamma ou à Surcouf baptisées aux noms des Frères Etienne et Edmond Sergent portant
l’inscription – vainqueurs des maladies coloniales ?
Le
Poirier : Ce bel
établissement qui a connu des jours heureux en son temps, fut démoli par
l’actuel propriétaire, un 12 février 2012, pour y connaître un nouveau type de
construction.
Services : Là, où la main passe et repasse et ne laisse aucune
trace et où elle arrive à se glisser facilement auprès d’humbles personnes. Un
système de collectivisation emprunté au modèle bolchevick sauf qu’il ne
regroupe pas la majorité cette fois, mais une clique d’amis.
Ouche : Profitant d’une brouille au sujet d’un héritage entre
membres d’une même famille, …………… y concédera le verger y attenant,
propriété de cette même famille, à un …………… .
Pour des raisons qui relèvent d’un ordre
juridique, l’auteur préfère ne pas s’exprimer sur le sujet.
AcquÉreur : Même le fils de l’ex …………… y aura
droit à un petit bout de terre où il se fit construire un local.
BÂtir : Pour y pouvoir construire cet hôtel il a fallu couper quelques arbres au ras de la souche même.
BÂtir : Pour y pouvoir construire cet hôtel il a fallu couper quelques arbres au ras de la souche même.
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