mardi 27 août 2019

LA VILLA BAHRI …


LA VILLA BAHRI … L’OUBLIÉE DE AÏN-TAYA

Préambule
UNE PROPRIÉTÉ ………. UN PATRIMOINE PUBLIC
Le square de Aïn-Taya, l’église de Aïn-Taya, le chalet normand de Surcouf, l’ex Hôtel-Bar-Restaurant les Tamaris, la villa Bahri, l’ex Hôtel-Bar Restaurant le Corsaire*, la villa la Turquoise, l’ex Hôtel-Bar-Restaurant les Bougainvilliers, l’ex Café-Bar-Restaurant et Traiteur le Poirier, l’ex Restaurant les Flots bleus, l’ex Restaurant le Dauphin de Bartoli, l’ex propriété de charme des Sergent, les falaises de Aïn-Taya et leurs beautés indescriptibles…
Autant de sites merveilleux, de vestiges incomparables, de monuments publics qui nous interpellent et qui nous font revivre la belle époque. C’est aussi une mémoire irremplaçable, inépuisable  par son charme, sa beauté, son pittoresque et son ancienneté.
Ce riche patrimoine, propriété de la collectivité publique, n’est soumis hélas, à aucun classement juridique ni même administratif, lui conférant un régime particulier permettant d’assurer sa conservation.
Dans ce même ordre d’idées, la publication des photos qui trouvera son écho dans ce même cadre, ne peut être assimilée à un viol de la propriété privée et ne saurait par conséquent engager en quoi que ce soit la responsabilité du narrateur.
LA VILLA BAHRI -I-                                                                                         -AÏN-TAYA-
a.      Ma Bohème
A quelques trois cent mètres de la placette de Aïn-Taya, en allant vers Surcouf, une vieille demeure oubliée au bord de mer exalte tendrement sa triste complainte. Abandonnée par les siens, emportée par la tourmente, gagnée par la mélancolie, elle tente de survivre pour mieux évoquer la douceur de vivre d’antan et pour mieux renouer avec le passé. Les pieds gelés dans l’eau, les yeux fixés au ciel, les bras tendus vers le haut, comme dans un ultime adieu, elle s’efforce de remonter à la surface des eaux pour mieux échapper à la furie des vagues et pour mieux raconter son histoire. Une histoire qui, comme le dit l’anecdote, est une vieille histoire. Une histoire qui n’en finit pas.
Hélas ! elle n’est plus qu’un amas de blocs crasseux dont l’aspect hideux nous rappelle le souvenir d’une vieille forteresse désertée par ses occupants. Pour d’autres, elle n’est plus qu’une épave larguée par l’océan et abandonnée, tel un cachalot, sur les rives de mer de Aïn-Taya.



LA VILLA BAHRI -II-                                                                                        -AÏN-TAYA-
b.      Vestiges du passé
Cette imposante masse architecturale de style classique édifiée sur un terrain rocailleux, au tout début du siècle* passé, dispose d’une surface de plus de 1,5ha. Elle fut l’ex propriété d’un riche industriel allemand, nommé Müller* et porte toujours l’appellation de villa Bahri*. Elle servit également, vers la fin de ses beaux jours, de lieu de résidence et de villégiature au couple Favier*.
Aux abords de l’entrée principale de cette vieille demeure, une drève entourée d’oliviers et de figuiers de barbarie aménagée pour le repos d’un carrosse*, nous renseignent sur l’état sauvage des lieux. Non loin de là, un petit jardin, muséum* de la plante, abandonné par ses maîtres, témoigne encore des riches vestiges d’un long passé tropical longtemps oublié.
Dans la cour de cette vieille maison, une belle allée cavalière revêtue de pavé et ombragée de hauts palmiers, pins, mélèzes, arbres fruitiers, cohabitent en toute quiétude avec le chant des cigales et les embruns de la mer. Ce petit monde sauvage, qui semble avoir élu domicile depuis bien longtemps, savoure dans la joie et la fraîcheur du matin le parfum naturel des essences d’eaux douces.
Cette authentique maison chargée d’amour et de piété promène toujours le caractère et l’esprit de son temps.
L’ensemble comprend une grande cour parsemée de gravats et jalonnée de feuilles de platane égarées par-ci, par-là. Cette grande demeure abrite un vaste sous-sol, douze pièces réparties sur deux niveaux et une immense terrasse dont la façade offre une belle vue sur la mer. Accolées aux flancs arrières, de vieilles annexes distantes quelque peu les unes des autres nous font partager une maison de jardinier, une ancienne écurie, un cellier, une buanderie, un chenil, une porcherie, un four à pain, un entrepôt … . Un bel esprit jurassien qui nous fait revivre l’univers romantique et chaleureux de Pablo* l’Espagnol.
À l’intérieur de cette vieille maison hospitalière, pourvue d’un immense salon de réception et d’un coin repas, deux grandes fresques en mosaïque, apposées sur le mur, aux formes rectangulaires et aux coins arrondis, portent l’inscription vin rosé – vin rouge. Sur le sol, recouvert de marqueterie, deux grandes cuves en porcelaine légèrement éloignées entre-elles et alimentées par un ensemble de tuyauterie semblent obéïr à une vieille tradition provençale. Dans ce bel appartement, au-dessus de nos têtes, une belle  peinture exécutée sur le plafond laisse apparaître de beaux motifs religieux. Une ribambelle de petits chérubins font la fête dans un décor fastueux. Emportés par une euphorie extrême, ils célèbrent les noces, s’élançant vers les cieux, la main dans la main, comme pour y savourer les joies intenses d’un paradis éternel. Telle une tragédie grecque, deux anges accourent au loin, un long drap transparent dans les mains pour y couvrir le corps de ces petits bambins livrés aux joies folles de l’insouciance.
Au moment de quitter les lieux, mon interlocuteur m’informe qu’un vieux mobilier datant de l’époque de la moitié du XIXe siècle fut abandonné ici, lors du grand départ de 62 et retrouvé par les nouveaux occupants. On parlera d’une vaste salle à manger, une chambre à coucher, un buffet de cuisine, plusieurs éléments de salle à manger, une comtoise, une desserte avec argenterie, une commode …. Autant de meubles qui auront fait la gloire d’un vieux musée italien
Dans ce bel univers où règne un calme quasi religieux, en toutes saisons, ne subsiste à ce jour que la douceur des vieux jours qui semble regretter la compagnie du maître des lieux.

LA VILLA BAHRI -III-                                                                                      -AÏN-TAYA-
c.       Regard sur le passé
Proche de la placette de Aïn-Taya, au sein d’un magnifique cadre, calme et paisible, repose dans l’oubli et l’indifférence totale, une vieille maison de notable, abandonnée en cours de chemin.
Un vaste domaine clos, érigé de vieux murs et peuplé d’arbres centenaires, situé sur un terrain marinier dont l’emplacement respire toujours le parfum des vieux et des beaux jours.
Ce bel endroit en front de mer inondé de soleil dispose d’une vue impeccable sur la mer. La présence d’une nappe d’eau souterraine et ruisselante en ce lieu lui confère une agréable fraîcheur l’été.
Jadis, cette vieille maison de campagne faisait face à un bel environnement tranquille où domine un coteau vallonné de vigne.
On parle d’une commanderie qui aurait appartenu à une congrégation religieuse (Trappiste …). Elle est conçue comme pour vouloir abriter un relais de chasse pour petit et gros gibier (à poil, à plume, à écaille osseuse …) ou pour y servir de maison de charité pour âmes égarées.
L’édification de ce bel ouvrage, en ce temps là, à hauteur du niveau de l’eau, témoigne du génie remarquable du maître de l’œuvre et de la qualité noble de l’ouvrage.
·        La stabilité des parties immergées de la pierre de roche dans le sol et dans l’eau et son étanchéité à l’état humide nous renseignent sur les propriétés intrinsèques de ce matériau et sur la résistance qu’il aura à supporter face aux efforts répétés des eaux de mer en furie.
·        La solidité des portes de bois, du plancher, de la marqueterie, de la charpente, des cloisons, des traverses et leur imperméabilité au contact de l’air humide attestent de la particularité imputrescible de cette matière et la capacité dont elle aura à se prémunir face aux substances nocives des eaux de mer.
·        La dureté des métaux ferreux, portails, fer forgé et leur inoxydation vis-à-vis de l’air marin témoignent encore des caractéristiques invulnérables de ce métal et son inaltérabilité face aux attaques corrosives engendrées par la salinité marine.
Sur le sommet de cette élévation, un long couronnement auréolé d’un bel ensemble décoratif laisse entrevoir  une belle lignée de feuilles d’érable dentées. On croit savoir que c’est avec cette belle variété d’arbre fort appréciée en ébénisterie que les marches en bois, les poutres, les rondins, les chevrons, la charpente … des annexes ont été exécutés en ce temps là et avec le plus grand soin.

LA VILLA BAHRI -IV-                                                                                       -AÏN-TAYA-

d.      Il y a le ciel, le soleil, la mer …..
Une grande terrasse baignée de soleil, face à la mer, et au bleu azur du ciel. Un bel endroit qui n’aurait pas laissé indifférent Pierre Loti et qui lui aurait donné même l’idée de reconquérir de nouveau les océans.
Un vieux bâti, de vieilles pierres pour la maçonnerie, de vieux pavés pour le revêtement de l’allée et de vieilles marches en bois … et pour couronner le tout, de vieux arbustes et de vieilles plantes pour le bonheur de cette petite ville d’Aïn-Taya.
Le choix de ces vieilles plantes originaires des pays tropicaux et leur acclimatation, en ce lieu, n’est pas chose fortuite. Il est le fruit d’une longue étude soigneusement réfléchie par le maître des lieux, tout comme l’atteste cette plante nommée les Tamaris importée du Midi de la France et qui donna son nom à l’ex célèbre Hôtel-Bar-Restaurant, les Tamaris des Carreras, édifié par Lozza, en 1927. On lui donnera l’appellation arabe de Tarfaya, probablement en raison de cet endroit éloigné et isolé en même temps.
Remarquons la tige ligneuse de cette véranda. Une belle variété de bois originaire des pays chauds qui a rendu l’âme, il y a bien longtemps. Un spécimen que l’on retrouve uniquement dans les pays asiatiques (Malaisie, Indonésie, Inde, Thaïlande, Philippines). En bon serviteur, cette plante grimpante continue toujours de faire de l’ombre à ce vieux belvédère de type indo-britannique à la Rudyard Kipling où la comtesse Anna De Noailles aurait aimé* écrire ici, ses fameux recueils lyriques.
Sur la partie arrière de cette vieille maison, on y distingue sur les deux dernières photos, au bas des falaises, la présence sauvage de joncs et de roseaux dont la poussée prolifique en ce lieu est favorisée par le conditionnement d’une terre humide et d’un relief dégradé.
  
LA VILLA BAHRI -V-                                                                                        -AÏN-TAYA-
e.       Vieille mémoire du passé
Bien communal, la villa Bahri fut cédée au tout début des années 70 par …………….. ex maire de ………… et ex Directeur de la Société Nationale de Transport de Voyageurs -Unité 4- dont le siège est situé à …………….. à Mr ……………., ex ministre des transports dans le gouvernement de Boumédiène. (On remarque le lien existant entre les deux fonctions et le rôle qu’ils peuvent jouer dans certains cas.)
C’est à l’intérieur de l’hôtel Régina non loin de la rampe ex Bugeaud, que les formalités de l’achat/vente de la villa Bahri furent arrêtées* entre ……………….. ex propriétaire de l’hôtel Régina et ………………ex Président de l’A.P.N. Une cession d’un patrimoine communal qui sera cédé à valeur d’un dinar symbolique et notifié peu après par acte notarié établi devant maître ………… . Monsieur……………… fut également propriétaire de l’hôtel « Suède » situé à Paris qu’il vendit à un richissime homme d’affaires algérien nommé  M…………
Objet de litige entre héritiers, frères d’un premier et second lit, la villa Bahri demeure fermée à ce jour et ce depuis la mort de leur père.
Visite des lieux effectuée en compagnie de l’un des cousins des héritiers de ……………
et gardien de ladite propriété à temps perdu.

Mr MILLER, UN NOM, UNE ÉPOQUE
f.       La vieille saga industrielle des Miller
Miller, un nom de la même famille que les Müller* et aussi célèbre que ce dernier.
Miller, un riche industriel dont les activités techniques furent orientées essentiellement vers les grands travaux industriels (métallurgie, sidérurgie …) la recherche pétrolière, les équipements des mines, les transports spéciaux… en Algérie et dans l’ex Afrique Occidentale Française MMiller eut pour conseils Louis Durafour, Charles Lacan, Hubert Martin, Jean-Michel Boreux, Pierre Jarry. L’usine qui se trouve en Algérie portait le nom de Union Industrielle Africaine* et est située à Maison-Carrée, sur la route qui mène à Baraki, non loin du stade Zevaco*. L’ex siège de cette unité se trouvait au … rue Joinville* à Alger. Aujourd’hui, une aile de cet immeuble est affectée à la CA.SO.RAL service des malentendants.
Les indications portées sur Mr Miller sont tirées d’un vieux Bottin colonial.


LA VILLA LA TURQUOISE                                                                             -AÏN-TAYA-
-         Edifiée en 1897, elle porte l’appellation de villa La Turquoise.
-         Une vieille photo légende qui rappelle le vieil Aïn-Taya du début du XIXe siècle.
-         Remarquons le style ottoman de l’époque. Un véritable chef-d’œuvre qui ira avoisiner tant de belles autres œuvres édifiées à Aïn-Taya et ailleurs.
-         C’est l’ex propriété de Mr Müller qui passera beaucoup plus tard aux mains de la toute-puissante industrie de la cellulose de l’époque, la dynastie de Vve Cote*.
-         Müller, un nom associé à la donation d’un terrain. Mr Müller fut également propriétaire d’une parcelle de terre, actuel cimetière chrétien de Aïn-Taya qu’il léguera à la municipalité de Aïn-Taya qui en fit une sépulture pour le repos de ses morts.
-         On croit savoir que cette carte postale a été prise à hauteur de l’ex villa Bahri, sur le côté latéral droit qui domine la villa La Turquoise, aujourd’hui, station de bus des autocars en partance vers l’ex Suffren, Jean-Bart, La Pérouse, Alger-Plage, Ford-de-l’eau, Alger.
-         Très ouverte sur l’extérieur, la villa La Turquoise offre une très belle vue sur la mer contrairement au Chalet normand dont la façade est trop confinée sur elle-même.
-         On remarque sur les photos du bas, à l’intérieur de cette villa, une nature d’herbage luxuriante qui dénature tout le charme des lieux.
-         Pour donner une âme à la photo, le photographe a bien voulu associer trois personnages… une femme musulmane, un colon espagnol et un cocher qui symbolise à lui seul l’arrivée des mahonnais à Aïn-Taya.
-         Observons le regard presque débile de ce maître-cocher, la tête engoncée dans un chapeau melon, le corps enveloppé dans un bel habit écossais, et le séant posé sur le siège avant de ce cab … A le voir ainsi, on croirait qu’il a du mal à se concilier avec l’effet magique de la caméra. Un sténopé avec trépied hissé sur une hauteur.
-         On voit assise sur un tertre de terre, une vieille femme arabe, drapée d’un haïk, qui semble gênée elle aussi par la présence de l’appareil photo et de tout ce qui l’entoure. A ses côtés, un colon espagnol qui paraît très à l’aise au jeu de la photo.








Le corsaire : Mis à sac durant les événements d’octobre 88 , Le Corsaire qui a perdu de sa verve bien avant cette date ne renaîtra plus de ses cendres. Il sera démoli et reconstruit par le nouveau propriétaire qui lui donnera un nouveau look mais gardera cependant le nom.
Siècle : On croit savoir que la date de fondation de cette grande propriété remonte à l’année 1903.
Müller : Riche notaire, selon les uns, ingénieur de formation, selon les autres, Mr Müller  fut, disait-on, l’ingénieur entrepreneur et constructeur des deux ponts viaducs qui relient le centre ville de Maison-Carrée à sa périphérie. Ce nom fut extropié à la suite d’une mauvaise prononciation de la langue française pour revêtir l’appellation de muletMulet, c’est aussi cette variété de poissons, que l’on nomme également muge, qui venait souvent s’ébattre sur les côtes de mer de Surcouf pour passer probablement de vie à trépas. Homonymie pour certains, simple caprice du destin, selon d’autres, cette appellation fut donnée à tort par ces petits garnements qui s’y rendaient souvent au bas des falaises de cette vieille demeure, pour y pêcher cette espèce de poissons dont la présence est surabondante, en ce lieu. On attribue également, à cette vieille maison le sobriquet de chaâbet el mulet, en raison de ce type de poissons dont l’espèce rare et fort recherchée demeure prolifique en cet endroit. Chaâbet, c’est le nom donné à une cascatelle, il désigne une masse d’eau qui se déverse en trombe sur les récifs des falaises pour s’y jeter finalement dans le lit des rives de mer de Aïn-Taya.
Müller, Doté d’un tréma, il prend ses distances vis-à-vis de Muller sans le tréma comme pour se démarquer de ce dernier et afficher le sceau de la puissance et de la finance. Tout comme le Krupp et les Heinkel, les Müller appartiennent à une vieille dynastie de riches industriels allemands.
Bahri : Un mot arabe qui signifie marin. Il désigne également dans le langage populaire un être oisif et sans le sou qui, tel un larron, s’efforce de vivre aux dépens des autres. Il fait allusion à la vie aventurière que mène les matelots qui, une fois l’équipage à terre, tentent de se soustraire à leurs dépenses, en vivant aux crochets des autres, tout comme le font les écornifleurs. Il emporte aussi l’idée de vous soutirer par la ruse ou la flatterie tout ce que vous avez en poche. Il s’applique de même à un troisième larron qui, sans le sou et les mains dans les poches, prend tout ce qu’il trouve devant lui et s’en va. Bahri, se dit également d’un vent doux et léger qui vous procure une agréable sensation de bien-être et de fraîcheur sur tout le corps. 
Favier : Un chapeau feutre sur la tête, une canne à la main, une démarche modérée, c’est le comte Favier qui promène en ces années 50, le look d’un gentleman. Certains lui prêtent le titre de directeur du Crédit Lyonnais. Quant à Madame Favier, douce et d’une grande amabilité, elle fut, disait-on, une excellente gastronome qui appréciait les plats riches en crevettes (de l’avis même de ceux qui lui ramenaient des cageots de crevettes et de crustacés).
Carrosse : Le vocabulaire français ne manque pas de qualificatifs pour désigner cette fois un fiacre, un hippomobile, un cabriolet …
Muséum : Un vaste parterre et une belle composition de plantes rares et très recherchées de nos jours qui ont perdu de leur verve depuis bien longtemps et qui n’en finissaient pas de se lamenter.
Cave vinicole : On me montre du doigt l’emplacement où se trouvait exposé jadis, en plein air, un pressoir à vendange dont il ne reste plus rien aujourd’hui. J’ai eu à connaître également l’endroit où demeurait confiné un vieux poêle à bois remplacé il y a très longtemps par un poêle à mazout.
Pablo l’espagnol : N’oublions pas le télé-film de la fin des années 60, inspiré du roman de Bernard Clavel, qui a longtemps marqué les ruisséens.

Aurait aimé : Dans l’utopie, bien-sûr.

Arrêtées : C’était vers la fin des années 90.
Müller : Tout comme la préposition « de » que l’on appelle particule et qui indique et accompagne un titre de noblesse, le tréma qui se veut aristocrate enfile un costume de tissu alpaga gris à la manière d’un gentleman écossais et se couvre la tête d’un chapeau tyrolien garni de deux plumes d’aigrette de chaque côté des bords.
Zevaco : On est à quelques pas de l’ex briqueterie Altairac, de l’ex minoterie Durroughs, de l’ex société des grands travaux publics Laurent et Bouillet , du stade Zevaco et de l’ex usine de voitures Renault.
Vve Cote : Le siège de ces ex établissements qui eut pour gérant Henri Cote se trouvait au …………….. bd Sadi Carnot, actuel Hassiba Ben-Bouali - Alger. Ils disposèrent également d’un local non loin des ex Forges Garcia du Ruisseau lequel domine l’actuel marché Le Revoil. À ces derniers, s’ajoute un autre entrepôt lequel fait face à la mairie de Belcourt et dont les murs tombés en décrépitude n’offrent aujourd’hui rien de nouveau.

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